Je me prénomme Léo et suis professeur d’histoire-géographie au lycée.

Bien que mon activité au sein de l’association se soit actuellement raréfié compte tenu de la crise sanitaire et de mon emploi du temps, j’ai eu plusieurs postes dans l’association sans avoir de rôle particulier bien que membre du CA.

J’ai eu des rôles de conférenciers, de petite main pour réparer ou aménager des évènements au sein de la maison mère. J’ai participé aux chantiers de bénévoles sur le cellier ainsi qu’à la création de certains évènements (les 50 ans de l’association par exemple). 

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J’ai connu l’association au cours de recherches personnels sur l’histoire et le patrimoine parisien. Faire partie de cette association permettait alors de s’enrichir d’un point de vue théorique mais aussi pratique grâce à la mise en place des chantiers. Évènements assez rare à Paris.  Cette association m’a permis d’ouvrir mes champs de recherches historique à l’architecture et l’histoire de l’art.

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« On taille des pierres qui vont ensuite être posées sur un bâtiment historique, il y a une grande responsabilité »

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Lors du chantier auquel j’ai participé, j’ai pu apprendre différentes méthodes de taillage de Pierre ainsi qu’à faire du mortier. Après quelques cours théorique, nous avons pu, avec les autres bénévoles mettre en pratique ce que nous avions appris.

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C’est une expérience dense car immersive qui implique une concentration mentale et physique. De fait, on taille des pierres qui vont ensuite être posées sur un bâtiment historique, il y a une grande responsabilité. Mais outre cette pression il y a la grande satisfaction de voir un projet de sauvegarde du patrimoine avancer.